Camping Parc St-Michel

Je viens juste de téléphoner à ce ''gentil'' propriétaire puisque ce camping semblait intéressant. MAIS comme mentionné dans les 2 autres commentaires, il est arrogant, indépendant, voix pas très invitante.... Donc, terrains libres ou pas JAMAIS je n'encouragerai ce type d’individu. Ce genre d’humain ne devrait JAMAIS faire affaire avec le public, en plus, probablement trop âgé pour prendre une formation en Relations Publics, peine perdue. il finira par vider son camping avec ce comportement !!!!
10 years ago (24-06-2016)

Installation laisser à l abandon pas très propre
9 years ago (16-07-2017)

Il quel que annee nous allions a se camping , nous etiions bien , mais le proprio un peu malade .un soir nous étions parti et mon beau fils et sa femme son venu pour nous voir . Comme nous étions pas la il sont reparti mais le méchant proprio les a arrêté il étais dans son car . Et ils leurs dit qu'il roulias trop vite . Et a commencer. A les engueler . Et quand mon beau-fils lui a dit qu'il étais dans la GRC . Et qu'il n'avais même pas le droit de se promener en état d'ebriete su son car il la traiter de jeune baveu . Mais quand il lui a mis sa bathe de la GRC sur le nez il a blemi . Et a plus parler .c'est plate mais ses un beau terrain .
10 years ago (14-05-2016)

Le monsieur propriétaire traite ses clients campeurs (surtout ceux de passage pour 1 jour ou 2), comme un mesquin petit boss traite son employé. Voici, en bref, la description de l'expérience que j'y ai vécu cet été (2015)... Camping Parc St-Michel (à St-Michel de Bellechasse). Vraiment déçu de mes 3 petites journées de camping de cette semaine. En fait, le séjour a été agréable. J'ai pu, comme d'habitude, profiter des attraits des environs. Mais les 3-4 dernières minutes avant mon départ ont tout gâché. C’était la cinquième année consécutive que je me rendais au Camping Parc St-Michel, pour y passer quelques jours de villégiatures. Je me déplace à vélo et je me suis bien rendu compte (dès la 1ère année) que le proprio n’aimait pas les cyclistes, mais je m’en accommodais, dans la mesure où il m'offrait un service acceptable – je ne suis pas exigeant. En outre, il m'a toujours tutoyé (moi je le vouvoyais), bien qu’il y allait avec des Vous très polis envers les campeurs saisonniers. Remarquez que je suis âgé 50 ans, quand même, son tutoiement n'est donc pas «paternaliste». Mais je ne suis pas du genre à ulcérer pour ce genre de petits détails... Le camping est facilement accessible à vélo à partir de Québec (environ 30 km) il est bien situé, près du village et de ses commodités, et le site donne accès au fleuve, c'est pourquoi j'y allais chaque année. Donc, à la fin de mon séjour, au matin de mon départ, après avoir déjeuné, ça a été un peu long pour moi de tout ramasser mes gugus et ma tente, puis tout empaqueter de façon équilibré dans mes sacoches… Des problèmes chroniques d’intestins m’ont obligés à satisfaire des pressants besoins à quelques reprises le matin et je ne trouvais plus une de mes paires de lunettes, tout ça m'a retardé dans les préparatifs… bref au lieu de quitter à midi, comme l'indique leur sacro-saint règlement, j’étais prêt à partir à 13h15 seulement. À noter, aussi, que les années précédentes, j'ai toujours quitté avant midi. J'enfourchais mon vélo, au moment où le proprio s’est approché dans son véhicule. Je le salue gentiment et il me répond en regardant sa montre : «c’est à midi qu’on doit quitter les lieux. J’aime pas faire rire de moi ! Je veux plus jamais te voir la face icitte!» … Oui, il a bel et bien dit: «Je veux plus jamais te voir la face icitte!» et au cours de notre brève conversation, il l'a répété plusieurs fois. J’ai trouvé ça pour le moins intempestif. J’ai essayé de lui faire comprendre qu’après tout, un campeur est quelqu’un en vacances et que, de plus, plus de la moitié de ses sites sont libres. Je quittais le mien en le laissant propre et en bon état et donc mon retard n'avait pas causé d'inconvénient . Il m’a répondu que c’était pas de mes affaires et que si tout le monde agissait comme moi, il serait dans la marde. Je n’arrivais pas à croire qu’il me traitait comme un malfrat juste pour un départ tardif. Je me disais que ce «mauvais traitement spécial» camouflait quelque chose. Je lui ai donc offert de payer ma journée, pour compenser mon retard. Il a refusé, arguant qu’il ne voulait rien avoir de moi et me répétant qu’il ne voulait plus me voir la face. Je lui ai rétorqué que je lui offrais de payer la journée justement pour lui démontrer que je ne riais pas de lui. J'ai essuyé le même refus à mon. Je lui demande, c’est quoi le problème. Il me répond : «C’est toi le problème ! pis je veux plus te voir la face ! ». Il s'est engouffré dans sa cabine (réception) et je suis partie en disant : Bravo ! Je suis retourné en pédalant, contre le vent, vers Québec, dans un bien drôle d’état. Ce n’est pas pour me retrouver dans cet état que j’ai, en tout, donné 75 $ à ce bonhomme. Camping du Parc St-Michel. À St-Michel de Bellechasse. Non tu ne me verras plus la face !
11 years ago (19-07-2015)