Moleskine

Story

Pizzéria ou comptoir à crème glacée? Snack bar ou restaurant gastronomique? Le Moleskine pourrait, en fait, être la somme de tout ça, mais la vérité est qu’il ne se trouve jamais tout à fait là où on l’attend.

À l’image de son décor un peu baroque qui marie une modernité élégante à des bricoles brut de décoffrage, la cuisine du Moleskine est contrastée, imaginative et offre un large éventail d’expériences gastronomiques. Pour le lunch ou le souper, on pourra s’attabler au rez-de chaussée pour y déguster un sandwich, une salade ou une pizza brûlante tout juste sortie du four à bois. Ou alors préférera-t-on monter à la mezzanine pour savourer plus longuement des plats plus élaborés, dans une atmosphère feutrée et intime. Le week-end, on s’y réunira pour un brunch joyeux et gourmand, au diapason de l’éclectisme et de la liberté de ton qui caractérisent ce nouveau projet de l’équipe du Pullman.

Difficilement saisissable, le Moleskine sera, au fond, le restaurant que chaque client voudra bien qu’il soit et c’est de son identité plurielle et mouvante qu’il compte tirer son attrait et sa pertinence. À l’instar d’un petit carnet noir, le petit frère du Pullman offre des pages blanches où chacun pourra dessiner les jours et les soirs d’un restaurant ouvert à tous les possibles.